Samuel FREIBURGHAUS
Samuel Freiburghaus – taragot, clarinette, cor de basset, frula, tilincă
« Des rencontres marquantes avec des musiciens d’Europe de l’Est, comme l’Arménien Souren Ba- ronian, le Juif allemand Michael Alpert et le Macédonien Marem Aliev nourrissent aujourd’hui encore mon enthousiasme et mes tendances. C’est ainsi que depuis 30 ans je m’implique dans cette musique originale et archaïque des Tsiganes, des Juifs de l’Est, des Grecs et des ressortissants d’ex- Yougoslavie. Comme chacun le sait, la musique ne connait pas de frontières et c’est justement le recoupement des styles, généré par les voyages des musiciens, qui retient tout mon intérêt ».
Samuel Freiburghaus commence ses études de clarinette auprès de Thomas Friedli. Simultanément, il explore la musique folklorique. Quand il entend pour la première fois un groupe de musique roumaine au début des années 80, c’est le coup de foudre : il est pris corps et âme par la musique des Balkans. En 1985, il crée son premier groupe, Randolina, qui, se transformant rapidement en orchestre professionnel, se lance dans des tournées de concerts en Suisse avec la Moldave Nina Munteanu, au cymbalum. Comme musicien invité, il joue avec les groupes Musique Simili et Nomad’s Land.
En 2000, il adhère au groupe Chef dé Kef avec lequel il parcourt le monde et participe à de nombreux festivals internationaux de clarinette, comme celui de Glomel en Bretagne, Santan der en Espagne et à la Martinique. Une série de concerts l’emmène ensuite à Pékin et Shanghai avec l’ensemble Zimbl. Il est invité trois fois, comme soliste au congrès mondial des joueurs de taragot à Vaja en Hongrie et au festival de Timisoara en Roumanie.
Depuis 2010, Samuel Freiburghaus se produit régulièrement avec le Trio Samovili et comme musicien invité, avec Aliev-Blechorkestar et Caravane4. En 2012, il fonde le groupe Trio Amal avec lequel il travaille dorénavant principalement. (www.amalmusik.ch)
En 2007 débute sa collaboration avec Thilo Muster. Depuis le duo a développé une complicité́ et un enchevêtrement des voix tels, que par moments, on ne sait plus si c’est l’orgue ou le taragot qui joue.
« Des rencontres marquantes avec des musiciens d’Europe de l’Est, comme l’Arménien Souren Ba- ronian, le Juif allemand Michael Alpert et le Macédonien Marem Aliev nourrissent aujourd’hui encore mon enthousiasme et mes tendances. C’est ainsi que depuis 30 ans je m’implique dans cette musique originale et archaïque des Tsiganes, des Juifs de l’Est, des Grecs et des ressortissants d’ex- Yougoslavie. Comme chacun le sait, la musique ne connait pas de frontières et c’est justement le recoupement des styles, généré par les voyages des musiciens, qui retient tout mon intérêt ».
Samuel Freiburghaus commence ses études de clarinette auprès de Thomas Friedli. Simultanément, il explore la musique folklorique. Quand il entend pour la première fois un groupe de musique roumaine au début des années 80, c’est le coup de foudre : il est pris corps et âme par la musique des Balkans. En 1985, il crée son premier groupe, Randolina, qui, se transformant rapidement en orchestre professionnel, se lance dans des tournées de concerts en Suisse avec la Moldave Nina Munteanu, au cymbalum. Comme musicien invité, il joue avec les groupes Musique Simili et Nomad’s Land.
En 2000, il adhère au groupe Chef dé Kef avec lequel il parcourt le monde et participe à de nombreux festivals internationaux de clarinette, comme celui de Glomel en Bretagne, Santan der en Espagne et à la Martinique. Une série de concerts l’emmène ensuite à Pékin et Shanghai avec l’ensemble Zimbl. Il est invité trois fois, comme soliste au congrès mondial des joueurs de taragot à Vaja en Hongrie et au festival de Timisoara en Roumanie.
Depuis 2010, Samuel Freiburghaus se produit régulièrement avec le Trio Samovili et comme musicien invité, avec Aliev-Blechorkestar et Caravane4. En 2012, il fonde le groupe Trio Amal avec lequel il travaille dorénavant principalement. (www.amalmusik.ch)
En 2007 débute sa collaboration avec Thilo Muster. Depuis le duo a développé une complicité́ et un enchevêtrement des voix tels, que par moments, on ne sait plus si c’est l’orgue ou le taragot qui joue.